Loneliness

Loneliness

jeudi 10 décembre 2009

Equanimité ...



Trop souvent, ici et là, regardant le monde tel qu’il nous apparaît, nous refusons de croire qu’en tout être réside, fondamentalement, LA BONTE.
Pourtant, cette graine, ce germe, sans aucun doute fortement entravé dans son essor pour être vu clairement au quotidiens de nos existences, VIT, bel et bien, dans la profondeur de tout être.
Nous observons notre monde et ne percevant en principal que l’égoïsme, la colère, l’envie, la jalousie, l’attachement aux désirs, aux plaisirs… la fierté, l’orgueil…. Nous critiquons, nous nous insurgeons, nous révoltons… voire, nous nous désolons… sans voir que LE REMEDE se trouve, en notre propre sein et n’attend que notre attention, et notre INTENTION.

Ce remède, très simplement, ne réclame que notre intention de pratiquer lucidement, L’EQUANIMITE de notre cœur.

Nous parlons tous, d’attitude ouverte, de cœur ouvert… c’est déjà magnifique… mais avons-nous, vraiment, éliminer toute partialité ?

Portons-nous, vraiment, envers tout ce qui existe au quotidien de cet ici et maintenant, un regard bienveillant, ouvert, disponible, compassionnel, empli de cet Amour que nous réclamons incessamment, pour nous-mêmes ?

Avons-nous éliminé de notre esprit, de nos mentalisations, tout ce qui pourrait nous porter à privilégier tel ou tel aspect d’une chose ou d’un être, sans faire de différence, sans préjuger d’un quelconque bien fondé, sans se dire « cela est bon-pour-moi », « cela n’est pas bon-pour-moi » ?

Avons-nous éliminé nos attitudes préférentielles d’attachement et d’aversion ?

Avons-nous suffisamment réfléchi, médité, sur le fait que dès que nous relions nos attitudes au moindre préjugé qui s’élève en nos pensées … dès que nous relions nos attitudes aux moindres pensées de distinctions, de préférences… nous mettons un terme à l’ouverture, à l’équanimité de notre cœur, bloquant en quelque sorte la germination, la floraison et l’épanouissement de LA BONTE FONDAMENTALE de l’être….

Et donc, par défaut de pollinisation, en tous les êtres…

Et si nous méditions….

jeudi 3 décembre 2009

Une longue histoire...




Assise face à son bureau, Vesta scrute le mur blanc.
Depuis de longs mois elle s’interroge sur la véracité du « Voir », troublée par toutes les contradictions qui se révèlent entre ce que chacun voit de soi-même ou du monde, selon ce qu’il en exprime et de ce que Vesta elle-même voit ou discerne.Toutes ces contradictions entretiennent le doute et génèrent un flot ininterrompu de questionnements. Peut-être ne se connaît-elle pas vraiment après tout !
Parfois, comme désabusée par le regard qu’elle jette presque éperdument, naviguant entre ce qu’elle voit et connaît d’elle-même, souvent al contrario du regard d’autrui (mais ne serait-ce pas plutôt une absence de regard ?), Vesta rencontre aujourd’hui la nécessité d’un ajustement vigilant de sa vision d’elle-même, tout autant d’ailleurs, que des affaires du monde qui l’entoure. Elle souhaite ardemment, un regard ajusté à la vérité, à la réalité pleine et entière des choses vues et vécues. Atteindre à une réelle objectivité lui est toujours apparue comme une gageure, en ce monde où la subjectivité à la sensation règne en maître à penser.
Entremêlant l’espace et le temps qui lui apparaissent ni indivisibles, ni indissociables, Vesta entreprend dès lors de passer en revue toute la vision conservée des jours passés.
Réviser ses propres atteintes subjectives, observer crûment les pensées et les gestes réactifs émotionnels auxquels elle s’est vue tant de fois psychologiquement soumise, scruter sincèrement les actes commis souvent par sujétion à l’environnement, parfois intentionnellement, sans le pouvoir cependant, de mesurer vraiment la densité, la réalité profonde de l’intention.
Trop de jours passent sans que rien ne vienne effleurer, toucher, faire croître la conscience.
N’extrapolant point encore sur le résultat des possibles découvertes, Vesta s’avise toutefois que cette recherche, volontaire, exige une discipline, une vigilance incessante, une attention sans faille des actes majeurs et mineurs qu’elle se destine à re-visionner dans le but de traquer le vrai du faux, de s’absoudre du mensonge qui sans doute se perpétue encore en elle, même aujourd’hui sur de minimes instantanés pourtant d’importance capitale.
En première instance, l’intense vigilance du regard est requise.
Regarder … est un acte d’apparence simple sauf lorsqu’il s’agit plutôt de Voir, justement, ce que cache l’apparence et de déceler ce que l’acte de regarder en surface pourrait dévoiler en plus grande profondeur.
Voit-on toujours, réellement, ce qui est, ou bien contentons-nous de regarder ce que l’on pense, ce qui revient à dire, ne nous contentons-nous pas de voir ce que nous voulons voir, faisant fi de la vérité de manière incessante ?
Vesta se souvient d’une ébauche de sa réflexion, assez vite rendue au silence, par crainte de conflits majeurs avec sa mère. Dans les faits du quotidien le pointu du regard mettant en exergue une certaine finesse de vision s’est exercé à de nombreuses reprises et si Vesta « Voit » sa génitrice, cette dernière, c’est certain, ne « Voit » pas Vesta.
Plus encore, le regard maternel s’auto aveugle pour conserver plus ou moins consciemment un regard agréable sur elle-même. Découvrir en soi des manifestations, jugées par le monde moral ou bien pensant, négatives, mauvaises ou malsaines, n’est pas facile à vivre.
Si le regard accepte certaines tendances c’est au prix d’un mental indulgent envers soi-même et particulièrement sévère et critique envers autrui.
Conserver une bonne image de soi pour survivre psychologiquement représente, véritablement, la main- mise du mental déversé sur le regard, soumis dès lors, au paraître.
Ici, Vesta ne pratique aucunement une critique acerbe de sa mère, simplement la lame acérée de son Amour pour elle, l’enseigne ; il existe tant et tant d’individus procédant à l’identique, que la tactique mentale dont ils sont devenus les otages inconscients lui est devenue familière.
Aujourd’hui, à chaque apparition de cette tactique si tranquillisante pour celui qui en use sans même le deviner, Vesta pose, simplement son regard, lucidement neutre, tranquille.
La tactique est fascinante.
Ecoutant, puisque l’œil ne peut que rarement se séparer de l’oreille, Vesta observe avec aisance que ces êtres se sont bel et bien « Vus » en vérité, et comment, avec une rapidité vertigineuse leur étonnante capacité mentale redresse la barre, leur permettant de trouver toutes les meilleures raisons d’avoir pensé, parlé, agi, de telles ou telles façons.
Si Vesta croyait au Ciel à la manière de tout un chacun, elle le bénirait pour n’avoir pu manifester qu’une certaine lenteur d’esprit, ce qui finalement lui a permis des arrêts sur images intéressants et efficaces.
Ah … La lenteur d’esprit …
Consciemment rivée à l’écoute de l’image qui semblait la sienne selon chacun, l’existence de Vesta s’est déroulée sous la férule d’une permanente apparence de contradiction.Elle écoutait, acquiesçait ou ne disait mot, et agissait au final en laissant surgir un comportement qui portait vraisemblablement une réponse, mais pour lequel de ses interlocuteurs, allez savoir !
Il lui est apparu, parfois, que sa mère percevait quelque chose de ce trait de caractère, jugé sans véritable personnalité, et cela n’arrangeait rien entre elles.
Vesta sentait que sa mère ne voyait en ce comportement que de la révolte contre l’autorité … son autorité. Sa mère appartenait et appartient sans doute encore à ce type de personnages aux caractères forts, qui s’accrochent aux idées comme à une bouée de sauvetage. Hors de l’opinion, point de salut !
Quoiqu’il en soit en vérité, la mère opta pour une problématique chez sa fille et pris un rendez-vous chez un psychologue.Le diagnostic psycho médical trancha bizarrement pour le lymphatisme.
Comment Vesta aurait-elle pu leur confier, en son état d’enfant comme en celui d’adolescente, qu’elle ne parvenait pas à discerner ce qu’elle avait à faire ici, sur cette terre, et que dans cette ignorance collective, elle nourrissait l’espoir de se trouver une raison d’être en observant ses vis-à-vis.
Faux espoir. Terrible espoir.
Elle ne trouvait jamais rien, ni personne, pour s’accorder vraiment, sans pour autant devenir apte à totalement se désaccorder tant les liens à autrui lui paraissaient indéchirables.
Sans savoir ce qu’elle était, qui elle était, ce qu’elle voulait ou aurait voulu, il existait un fait incompréhensible … quelque chose inconnu d’elle ne correspondait en aucune manière avec ce qu’elle pouvait observer d’eux.
Elle ne comprenait pas ce qu’elle voyait. Quelque chose ne collait pas.
Entre « Dire » et « Voir » s’écartelait une sorte de disfonctionnement.
Au cœur de cette foule que l’on nomme les grands parents, les parents, les amis, les enseignants et autres rencontres de l’enfance et de l’adolescence, Vesta se destinait déjà à apprendre, sans encore le percevoir nettement, le fait incroyable mais ô combien véritable, de la solitude de chacun.
Ce n’était pas faute de partager les impressions de l’environnement, et ce n’était pas affaire d’opinions puisque la « personnalité inconnue » qui générait « son image » ne parvenait à s’attribuer aucune de ces opinions ou convictions exprimées tout en concevant sans peine les émotions et réactions de chacun. Elle ignorait en ce temps là, la possibilité existentielle d’un être se manifestant tel un « simple témoin » puisque elle vivait cet état en toute inconscience.
Au travers de ses perceptions elle tentait à chaque instant, désespérément mais avec un certain succès, à devenir véritablement « acteur ».
Par un effet reflet, elle se découvrit au cours de l’adolescence, un goût très prononcé pour le théâtre. Hélas (peut-être), hors les « veillées » en colonies de vacances et les intermèdes culturels à l’école, pendant lesquels elle a, à plusieurs reprises, littéralement brûlé les planches et reçu de chauds applaudissements, elle n’est pas parvenue à se maintenir sur cette voie. Quelque chose au niveau de l’image corporelle s’était négativement glissé pour l’empêcher de sauter le pas, d’aller de l’avant, d’oser décapiter l’idée d’une réelle impossibilité physique.
Il lui est devenu évident et vital, pour la qualité de sa tranquillité intérieure, et somme toute « plus pratique » de s’en tenir à la fonction d’observateur.
L’idée (de l’impossibilité physique) était d’ailleurs tellement aérienne, si légèrement formulée au cœur de son esprit, que ce n’est que beaucoup plus tard, en un moment contradictoire durant lequel une certaine forme de « personnalité vraiment très personnelle » parut vouloir se dessiner qu’elle prit conscience de cet état de fait.En réalité, et tel que Vesta le regarde aujourd’hui, ce fut en plongeant dans les impressions communes et en acceptant, à contre cœur, la pensée qu’un sentiment d’infériorité (idée émise par un « psy ») la tenaillait.
De ce sentiment s’émargeait une grande timidité … Enoncé comme un « j’ai dit » par le détenteur du pouvoir « psy », cette fausse vérité lui tînt tant soit peu compagnie durant des décennies. La timidité, arrimée par la parole médicale assénée, se tenait là, tranquille, discrète, prête à surgir dès que la vigilance du regard cédait à la pression mentale.
A dire vrai, les occasions pointèrent, rarement leur nez, Vesta vivait son regard, bien plus que ses mentalisations.
Communication totale … partagée en vérité … ? Impossible ! Voilà l’unique constat qu’elle pouvait faire.
Se tenir, le plus calmement possible dans l’observation et agir selon son sentiment même si se devait être contradictoirement aux images présentées l’amenaient à croire qu’elle était réellement ce qu’elle devenait. Dans ces instants là, l’attitude prise lui offrait l’idée d’être enfin … quelqu’un … avec cependant un sentiment d’étrangeté.
Il devient, ici, possible de « Voir » comment l’illusion peut germer et se diffuser.
C’est ainsi que Vesta s’est offert un éventail de comportements des plus variés, dans le plus pur laisser-faire intuitif, et dans la plus épouvantable des incompréhensions parentales.
Comment exprimer, à sa mère comme à son père, et plus tard à son beau-père, qu’elle ne percevait rien de réel et de vrai dans les attitudes qu’ils auraient voulu la voir composer et que l’aspect lymphatique de son comportement ponctué de sursauts agressifs de défense, ne dépendait que de son bonheur à vivre dans l’observation des choses et des gens dans l’espoir de comprendre ce que voulait dire, Vivre.
Prendre position, entrer dans les choses, Vesta y parvenait bien sûr, et même avec bien plus de passion que ne le laissait soupçonner ce « lymphatisme » apparent qui les gênait tant.
Il lui est arrivé de croire que c’était uniquement par un effet de mimétisme à l’environnement.
Vous savez, un peu comme lorsque l’on prend l’accent d’une région où l’on se trouve en vacances, mais aussi par ce défaut bizarre, cette impossibilité qui semble sienne quant à se former des opinions précises et qui la pousse à investiguer, à observer soigneusement les effets de telles ou telles idées sur la conscience.
Certaines personnes autour d’elle lui paraissent tellement accrochées à l’idée que tout est tel que le monde le voit, ou le dit, qu’il lui arrive de douter d’être nantie de quelque intelligence.
Souvent, dans la tentative d’accéder à l’appréciation des choses des uns ou des autres, Vesta s’égare dans l’espace temps de leur vision au point de paraître rêver et d’exister par procuration … à la manière de … !
Elle parvient dès lors, d’une certaine manière, à pénétrer dans leur regard et comme si elle se soumettait à leur très forte suggestion, elle s’engage dans le couloir de leur description des choses. Il lui est alors arrivé de croire en leurs dires au point de « devenir » ce dire et de s’exprimer comme en plein accord.Ce n’est pas qu’elle craigne vraiment de passer pour une « idiote », inapte à accepter l’idée communément prise en compte comme vérité…
En vérité d’ailleurs… Vesta ignore totalement ce qu’idiotie peut signifier, de même qu’elle ne saisit pas ce qu’intelligence ou absence d’intelligence peut bien vouloir dire.
Le « problème » semble résider au sein d’une apparente divergence de la perception qui génère nombre de désaccords expressifs, à défaut de conflits réels puisque se réfugiant le plus possible dans l’écoute, sans trop rien dire, elle s’accorde en surface, acquiesce aux divers raisonnements dans l’utopique espoir de ne déranger personne.
Vesta ressent bien qu’il existe une confusion entre intelligence et aptitude intellectuelle mais elle n’a pas encore découvert un moyen oral d’exprimer son ressenti à ce sujet.
Le plus étonnant pour sa perception consciente étant, qu’à chaque intermède de cette pénétration dans une croyance qui a priori ne la possède pas, elle devient presque la plus apte et la plus acharnée à convaincre autrui de la véracité de cette croyance. En ce singulier état de « sympathie » à l’environnement, sa « personne » n’existe pas, et seule, la conscience en un coin reculé permet l’étonnement du regard devant cette sorte de dédoublement.
Il est bien difficile d’exprimer un ressenti avec des mots, cependant, cet état lui fait l’effet que l’aperception de la vérité, s’il en est une, n’est possible que par la grâce de ce jeu du miroir et que prenant en compte individuel la certitude de l’autre, sa propre conscience enrichie d’un doute (ni exprimé, ni révélé) s’offre un point de vue élargi.
Ainsi, Vesta peut affirmer ce que l’autre croit, bien qu’elle-même n’y croît pas, et c’est au cœur de cette affirmation qu’elle décèle l’opportunité d’une autre vérité, tout autant possible et tout autant improbable que la précédente.
L’une comme l’autre reste, en l’état actuel de sa conscience, invérifiable.
C’est comme si la vérité ne pouvait occuper aucun espace, ne s’infiltrer nulle part ailleurs qu’en soi-même. Voyez-vous ce que Vesta voit ?
Il faudrait être la Vérité elle-même pour l’affirmer comme telle !
Sommes-nous la Vérité ?
Vesta se dit que c’est peut-être cela que l’on appelle se faire l’avocat du diable !Heureusement, elle ne croit pas plus en le diable qu’en dieu, alors ce faire l’indiffère … presque … bien que par le biais de ses différentes et très ponctuelles « écritures », quelque personne de son entourage, ait pu être porté à croire qu’elle croyait totalement au discours mystique que par instant elle emploie.
Elle pourrait, ici, nous dire, qu’elle invoquait ces possibilités à titre de tests destinés au chercheur dont elle n’a pu éviter l’investiture en son esprit.
Au contour de cet envahissement, quelque chose de l’ordre d’une vérification s’ordonne, bien qu’autre chose se pose la question de comprendre ce qu’il pourrait bien y avoir à vérifier, et pour quelles raisons ?
Vesta n’a jamais vraiment cru en la possibilité d’une vérification au moyen d’une technique psycho spirituelle ou autres procédés similaires.
Mais, l’empathie naturelle qui semble caractériser son vivre, cette étonnante manière de fonctionner au quotidien du mental humain, l’a poussée à pénétrer au cœur de quelques unes de ces techniques.
De catastrophiques effets l’ont alors précipitée au tréfonds de ce que beaucoup nommerait l’ombre, mais ici encore se pose la question de savoir : qu’est-ce que l’ombre ?
Est-ce l’avers de la lumière ?
Ou simplement son faire valoir ?
Qui donc pourrait lui répondre au-delà de cette curieuse sensation d’obligation à la croyance destinée en vérité et avant tout autre chose, au confort mental ?
Ce qui est certain, pour Vesta, c’est que sa découverte de la possibilité de défendre une idée à laquelle on ne croit pas face à des individus qui pensent y croire et ne s’engagent dans cette voie que dans le but d’y trouver un réconfort psychologique, a été un moment : « essentiel ».
Même en écriture, Vesta ne voit en ce qu’elle énonce, qu’un instantané, qu’une fulgurance spontanée jaillissant sur une seconde du temps.
Croire en quelque chose lui apparaît comme un non sens, comme une absence de mouvement dans le temps et l’espace du vivre, comme une accroche confortable évitant de se confronter au rien, au vide, au néant, à l’inconnaissance naturelle, au non savoir permanent puisque toujours en mouvance.

Tout pour elle, émane d’un simple témoignage de la sensation de présence au monde, de ses ressentis, des questionnements sans réponse effective dont elle ne peut faire totalement fi puisque son cerveau les lui présente irrémédiablement au détour de toutes les rencontres.
Tout, ici, partout et en tout, n’est qu’histoire de se témoigner soi-même, à soi-même … un simple mode d’expression des ressentis, des questionnements mentaux qui assaillent tout être, le comblant tour à tour de peines et de joies, de douleurs et de bien-être.
Une simple histoire de témoigner des aller et retour de la souffrance et de la plénitude, de ce magique reflet de la mort et de la vie.



Extrait de "Regard sur Hier" de Muttifree – 1998
Initialement posté en septembre 2007