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LE SILENCE DE LA CONSCIENCE
« … C’est uniquement à travers le silence de la conscience que notre nature physique et mentale peut changer. Ce changement est totalement spontané. Quand nous fournissons un effort pour changer, nous ne faisons rien d’autre que de déplacer notre attention d’un niveau à un autre, d’une chose à une autre. Nous restons dans un cercle vicieux. Il n’y a qu’un transfert d’énergie d’un point à un autre. Nous oscillons toujours entre le plaisir et la souffrance, l’un nous renvoyant perpétuellement à l’autre. C’est uniquement une tranquillité vivante, une tranquillité où personne n’essaie d’être tranquille, qui est apte à défaire les conditionnements auxquels est soumise notre nature biologique, affective et psychologique. Il n’y a personne pour surveiller, pour trier, aucun ego pour opérer un choix. Quand la vie n’est pas soumise à un choix, elle a la liberté de se déployer. Vous ne vous attachez pas à un aspect au détriment d’un autre, car il n’y a rien à quoi s’attacher. Quand vous comprenez quelque chose et le vivez sans être tributaire de la formulation, ce que vous avez compris se dissout dans votre réceptivité. C’est dans cette vacuité que le changement s’établit de lui-même, que le problème se résout et que la dualité cesse. Vous demeurez dans votre lumière où il n’y a personne pour comprendre et rien à devoir comprendre. » …
Jean Klein – La Conscience et le Monde – Ed. L’Originel
LE SILENCE DE LA CONSCIENCE
« … C’est uniquement à travers le silence de la conscience que notre nature physique et mentale peut changer. Ce changement est totalement spontané. Quand nous fournissons un effort pour changer, nous ne faisons rien d’autre que de déplacer notre attention d’un niveau à un autre, d’une chose à une autre. Nous restons dans un cercle vicieux. Il n’y a qu’un transfert d’énergie d’un point à un autre. Nous oscillons toujours entre le plaisir et la souffrance, l’un nous renvoyant perpétuellement à l’autre. C’est uniquement une tranquillité vivante, une tranquillité où personne n’essaie d’être tranquille, qui est apte à défaire les conditionnements auxquels est soumise notre nature biologique, affective et psychologique. Il n’y a personne pour surveiller, pour trier, aucun ego pour opérer un choix. Quand la vie n’est pas soumise à un choix, elle a la liberté de se déployer. Vous ne vous attachez pas à un aspect au détriment d’un autre, car il n’y a rien à quoi s’attacher. Quand vous comprenez quelque chose et le vivez sans être tributaire de la formulation, ce que vous avez compris se dissout dans votre réceptivité. C’est dans cette vacuité que le changement s’établit de lui-même, que le problème se résout et que la dualité cesse. Vous demeurez dans votre lumière où il n’y a personne pour comprendre et rien à devoir comprendre. » …
Jean Klein – La Conscience et le Monde – Ed. L’Originel
2 commentaires:
Dans le silence, la grâce oeuvre...
Chaleureusement. ;-)
Merci, Aksysmundi, d'être aussi présent sur ces pages...
Joyeusement, muttifree
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