Chant Premier
Afin de sentir, doux et ferme sous ton pas, Le Sentier,
Et marcher, sereine, tranquille,
L’esprit cependant guerrier,
Apprends chaque jour, Ô mon Âmie,
A discerner.
Comprends que de tous les biens de la Terre,
De la richesse et du pouvoir,
Les jours ici bas sont comptés
Et qu’il n’existe rien que tu puisses recevoir
Qui ne serait, La Vérité.
Ne laisse pas, mon Âmie, les sens décider,
Ne laisse pas, mon Âmie, les désirs t’égarer,
Ne laisse pas, mon Âmie, les rêves t’éloigner.
Fixe ton Cœur, Le Permanent,
Eblouis-toi de la Sagesse, incessamment.
Et Laisse ton Cœur
Seul,
Tel l’Unique Maître
Guider tes pas, fermes
Sur Le Sentier.
Et marcher, sereine, tranquille,
L’esprit cependant guerrier,
Apprends chaque jour, Ô mon Âmie,
A discerner.
Comprends que de tous les biens de la Terre,
De la richesse et du pouvoir,
Les jours ici bas sont comptés
Et qu’il n’existe rien que tu puisses recevoir
Qui ne serait, La Vérité.
Ne laisse pas, mon Âmie, les sens décider,
Ne laisse pas, mon Âmie, les désirs t’égarer,
Ne laisse pas, mon Âmie, les rêves t’éloigner.
Fixe ton Cœur, Le Permanent,
Eblouis-toi de la Sagesse, incessamment.
Et Laisse ton Cœur
Seul,
Tel l’Unique Maître
Guider tes pas, fermes
Sur Le Sentier.
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