C’est le verbe, Aimer, qui porte et soutient tous les instants
Où le taire apparaît plus amoureux que le dire,
Où éviter, manifeste un vrai choix d’amour,
Où faire, témoigne, même sous inconscience, d’un agir en substance
Où l’idée de subir n’est qu’une pensée malveillante
Cherchant à écarter de l’acceptation de ce qui est,
Cherchant à écarter de l’acceptation de ce qui est,
Où attendre permet au doute de s’envoler,
À la patience de se développer,
Au cycle d’un temps, encore inconnu, de venir en manifestation,
Affirmant en profondeur que l’idée même, de stagnation,
N’existe pas au plan de l’Essence,
N’existe pas au plan de l’Essence,
Qu’hésiter ne s’impose en conscience
Qu’en ces instants où le doute paralyse le corps sentant,
Générant, finalement, d’une manière ou d’une autre,
Qu’en ces instants où le doute paralyse le corps sentant,
Générant, finalement, d’une manière ou d’une autre,
Ce qui toujours a été, est et sera,
Le Voyage de la Conscience,
Le Mouvement de la Vie.
2 commentaires:
La Vie, l'Amour, la Conscience, tu as tout dit. Superbe texte. D'âme à âme.
Oui, d'âme à âme... merci Ariaga.
Enregistrer un commentaire