Chant Second
Que d’un homme, la religion te sépare,
Que d’un homme, ici ou là, la couleur t’exile,
Ce ne sont que des idées-rumeurs
De peu d’importance.
Tu apprends, ici, en mains tenant ton Cœur,
De ces fausses pensées l’arrogance
Et tu t’éloignes et te détachent d’elles
Sans humeur.
Toujours sur ton Cœur, Âmie,
Les yeux incessamment rivés
De la Vérité tu connais chaque nuance
Et de l’existence tu sais discerner
Tous les pourquoi, toutes les mouvances.
Tu sais bien, Âmie,
Tous les hommes habillés d’un Arc-en-Ciel,
Tu sais chaque Cœur revêtu de Lumière,
Des Roses d’Amour et de l’Indigo du Ciel.
Sans t’émouvoir,
Chaque instant, c’était déjà hier,
Sans t’ébranler, chaque jour passe sur l’illusoire.
Garde les yeux bien tenus par ton Cœur Vérité,
Parce que c’est à la Gloire, et à la Beauté
De tout-Un-chacun,
De l’Unique Cœur de l’Humanité,
Que tu marches sur le Sentier
D’un pas ferme, sûr,
Et cependant, léger.
3 commentaires:
Merci pour ces chants qui voyagent du Coeur au Coeur.
Chaleureusement.
Merci pour ces paroles si nourrissantes.
Du fond du coeur.
Superbe Mandala !
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