Là où le temps, las de passer
de virevolter comme une buse en quête de proie
s’avise soudain, qu’alentour de sa forme illusoire,
une aura subtile creuse le long et ténébreux couloir
qui mène le monde vers l’intemporel
parfois surgit un train de bancs,
comme autant de marches sur lesquels gravitent
et osent se rencontrer des voyageurs de toutes origines,
à destination unique de l’imaginaire
transcendant les formes pensées.
L’irrationnel parvient à son heure de gloire.
Unifiant toutes formes et sexes de mots,
la magie du verbe éclot en fleurs multicolores,
unique ethnie de l’humain…
le Jardin des Merveilles ouvre grand ses portes…
L’instant distille, sur la portée universelle
dressée comme un arc en ciel,
les sublimes notes de la liberté…
de virevolter comme une buse en quête de proie
s’avise soudain, qu’alentour de sa forme illusoire,
une aura subtile creuse le long et ténébreux couloir
qui mène le monde vers l’intemporel
parfois surgit un train de bancs,
comme autant de marches sur lesquels gravitent
et osent se rencontrer des voyageurs de toutes origines,
à destination unique de l’imaginaire
transcendant les formes pensées.
L’irrationnel parvient à son heure de gloire.
Unifiant toutes formes et sexes de mots,
la magie du verbe éclot en fleurs multicolores,
unique ethnie de l’humain…
le Jardin des Merveilles ouvre grand ses portes…
L’instant distille, sur la portée universelle
dressée comme un arc en ciel,
les sublimes notes de la liberté…
Toile de Mutti - acrylique et collage
6 commentaires:
Bravo ! Mutti tu donnes tout son sens par ce beau texte à ce que je tente, en toute liberté, de "laisser se faire" sur le banc du Laboratoire du Rêve et de l'alchimie Spirituelle. Mettre dans la cornue sur l'athanor des éléments venus par divers chemins et laisser doucement se faire la distillation...je t'embrasse.
Bonjour Mutti
j'aime beaucoup cette toile ,elle ouvre la porte, sur le jardin des merveilles!!
En résonance .
Anne Marie
L'imaginaire à quelque chose de solitaire et personnel qui est bien difficile à donner ou proposer en partage. Je me sens plutôt comme une personne du voyage... Mais cet imaginaire on peut le donner à entendre, ou bien à écouter, ou bien à lire, ou bien à voir comme tu le fais avec cette très belle toile.
Alors, pour un instant, celui qui regarde est assis à côté de toi, même si tu ne le sais pas...
Bises
Merci Ariaga, j'adore ce "laisser se faire"... que la douce distillation soit !
Je t'embrasse
Merci Anne-Marie... je suis ravie qu'elle te plaise et résonne... dans tes couleurs et en ta note...
Je t'embrasse
Guelum, sans le savoir effectivement, je ressentais bien un amical regard, tout près... Le temps pose des traverses dont l'esprit se joue par un grand saut...de joie...
Bises
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