Au risque de me tromper,
Du plus lointain dégagement du souvenir,
C’est le verbe, Aimer, qui porte et soutient tous les instants
Où le taire m’est apparu plus amoureux que le dire,
Où éviter, manifestait un vrai choix d’amour,
Où faire voulait témoigner, même sous inconscience, d’un agir en substance
Où l’idée de subir n’était que de la pensée malveillante cherchant à m’écarter de l’acceptation de ce qui est,
Où attendre permettait au doute de s’envoler,
À la patience de se développer,
Au cycle d’un temps encore inconnu de venir en manifestation,
M’affirmant à moi seule que l’idée même, de stagnation, ne peut exister en l’Essence,
Qu’hésiter ne s’imposait en conscience qu’en ces instants où la peur paralysait le corps,
Générant, finalement, d’une manière ou d’une autre,
Ce qui toujours a été, est et sera,
Le Mouvement de Vie.
Du plus lointain dégagement du souvenir,
C’est le verbe, Aimer, qui porte et soutient tous les instants
Où le taire m’est apparu plus amoureux que le dire,
Où éviter, manifestait un vrai choix d’amour,
Où faire voulait témoigner, même sous inconscience, d’un agir en substance
Où l’idée de subir n’était que de la pensée malveillante cherchant à m’écarter de l’acceptation de ce qui est,
Où attendre permettait au doute de s’envoler,
À la patience de se développer,
Au cycle d’un temps encore inconnu de venir en manifestation,
M’affirmant à moi seule que l’idée même, de stagnation, ne peut exister en l’Essence,
Qu’hésiter ne s’imposait en conscience qu’en ces instants où la peur paralysait le corps,
Générant, finalement, d’une manière ou d’une autre,
Ce qui toujours a été, est et sera,
Le Mouvement de Vie.
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