Si, simplement, nous acceptions de voir que tous les face-à-face manifestent la relation d’Amour entre tous les objets et tous les sujets que la Vie impressionne sur La Conscience …
Si, simplement, nous observions cela, maintenant …
Peut-être deviendrait-il alors, aisé, de reconnaître et de comprendre ce qui fait le temps et la pensée, et qu’au-delà de cette perception de la pensée et du temps qui conditionne toutes les identifications à la forme, il ne reste, rien !
Rien d’autre … que la plus extra – ordinaire démonstration de la relation d’Amour qui unifie toute forme en l’Intelligence qui l’a dessinée.
Si, simplement, par ce face à face à l’intérieur du continuum temps/pensée … Chacun se permettait d’observer l’unité de conscience qui relie chaque forme à une autre …
Offrant à toutes l’identique perception du temps et du monde par le regard …
Et par la pensée, l’identique impression d’exister et d’Etre …
Peut-être comprendrions nous l’inconditionnel Amour qui enlace tout un chacun et anime ainsi à chaque ronde d’un univers quelque morceau d’espace jusqu’alors sans vie ni conscience …
N’est-ce pas un véritable pro-Jet d’Amour pour l’Intelligence inerme, que de s’offrir l’aiguillon de la Vie et de s’incorporer en quelque forme ombreusement discernable ?
N’est-ce pas encore de l’Amour, simplement exprimé, que cette offrande d’un unique Soi-même en de multiples reflets imparfaits, mais perfectibles à l’Infini ?
Si ce n’était la Volonté de l’Intelligence, par le jeu de cet enlacement éternel, de générer des aspects démultipliés d’Elle-même, comment se connaîtrait-Elle Etre ?
Et si ce n’était la fâcheuse habitude des reflets en charge de cette manifestation d’oublier le Tout pour la partie et d’instaurer le règne d’un faux être oublieux du Soi, l’unité des individus serait matériellement un état de fait.
La paix, le bonheur, la plénitude de Ce Qui Est, tant attendue, tant appelée par ce qui n’est pas mais se croit ou se veut être, serait reconnue comme le fruit de l’Intelligence enfin justement manifestée.
Si, simplement, nous regardions clairement,
sans attachement excessif à la forme qui s’engendre à l’instant de la plongée dans la conscience du temps et de la pensée du monde,
peut-être discernerions-nous alors le magnifique cercle de Feu manifestant l’universel dessin d’un globe magnifique en lequel l’Intelligence s’incarne,
se manifestant, ici où là, pour des éons et des éons insondables,
perfectionnant inlassablement la conscience,
détruisant inexorablement, amoureusement et sagement les aspérités et les rugosités de l’ignorance qui voilent de cette magique Intelligence, l’active luminescence.
Si, simplement, les formes du Soi se laissaient aller à désirer entrevoir les indifférenciés aspects de l’Intelligence que la Relation d’Amour au moyen du désir, a appelé à la naissance, pour parfaire tel ou tel globe de conscience dans l’infinité de Son Espace, elles se verraient gainées, encerclées de cet anneau d’or garant de l’indéfectible alliance de l’Intelligence et de la Vie, et non pas seulement … d’un peuple.
Si, simplement, dans le temps et la pensée d’un globe la persona des formes acceptait de se diluer dans l’aspect de l’Intelligence qui au plan de l’essence l’anime, et de laisser ainsi, simplement, se manifester l’Amour inconditionnel vitalement introduit au jour de la naissance, elle se maintiendrait naturellement en Amour et grand respect d’elle-même comme d’autrui, se reconnaissant en tout comme toujours face à face à l’Intelligence Vitale, identiquement présente en une forme annexe qui, tout comme elle, s’est enchaînée à ses désirs et épuise son reflet de volonté, à ne vouloir être, que son apparence.
Si, simplement, nous observions cela, maintenant …
Peut-être deviendrait-il alors, aisé, de reconnaître et de comprendre ce qui fait le temps et la pensée, et qu’au-delà de cette perception de la pensée et du temps qui conditionne toutes les identifications à la forme, il ne reste, rien !
Rien d’autre … que la plus extra – ordinaire démonstration de la relation d’Amour qui unifie toute forme en l’Intelligence qui l’a dessinée.
Si, simplement, par ce face à face à l’intérieur du continuum temps/pensée … Chacun se permettait d’observer l’unité de conscience qui relie chaque forme à une autre …
Offrant à toutes l’identique perception du temps et du monde par le regard …
Et par la pensée, l’identique impression d’exister et d’Etre …
Peut-être comprendrions nous l’inconditionnel Amour qui enlace tout un chacun et anime ainsi à chaque ronde d’un univers quelque morceau d’espace jusqu’alors sans vie ni conscience …
N’est-ce pas un véritable pro-Jet d’Amour pour l’Intelligence inerme, que de s’offrir l’aiguillon de la Vie et de s’incorporer en quelque forme ombreusement discernable ?
N’est-ce pas encore de l’Amour, simplement exprimé, que cette offrande d’un unique Soi-même en de multiples reflets imparfaits, mais perfectibles à l’Infini ?
Si ce n’était la Volonté de l’Intelligence, par le jeu de cet enlacement éternel, de générer des aspects démultipliés d’Elle-même, comment se connaîtrait-Elle Etre ?
Et si ce n’était la fâcheuse habitude des reflets en charge de cette manifestation d’oublier le Tout pour la partie et d’instaurer le règne d’un faux être oublieux du Soi, l’unité des individus serait matériellement un état de fait.
La paix, le bonheur, la plénitude de Ce Qui Est, tant attendue, tant appelée par ce qui n’est pas mais se croit ou se veut être, serait reconnue comme le fruit de l’Intelligence enfin justement manifestée.
Si, simplement, nous regardions clairement,
sans attachement excessif à la forme qui s’engendre à l’instant de la plongée dans la conscience du temps et de la pensée du monde,
peut-être discernerions-nous alors le magnifique cercle de Feu manifestant l’universel dessin d’un globe magnifique en lequel l’Intelligence s’incarne,
se manifestant, ici où là, pour des éons et des éons insondables,
perfectionnant inlassablement la conscience,
détruisant inexorablement, amoureusement et sagement les aspérités et les rugosités de l’ignorance qui voilent de cette magique Intelligence, l’active luminescence.
Si, simplement, les formes du Soi se laissaient aller à désirer entrevoir les indifférenciés aspects de l’Intelligence que la Relation d’Amour au moyen du désir, a appelé à la naissance, pour parfaire tel ou tel globe de conscience dans l’infinité de Son Espace, elles se verraient gainées, encerclées de cet anneau d’or garant de l’indéfectible alliance de l’Intelligence et de la Vie, et non pas seulement … d’un peuple.
Si, simplement, dans le temps et la pensée d’un globe la persona des formes acceptait de se diluer dans l’aspect de l’Intelligence qui au plan de l’essence l’anime, et de laisser ainsi, simplement, se manifester l’Amour inconditionnel vitalement introduit au jour de la naissance, elle se maintiendrait naturellement en Amour et grand respect d’elle-même comme d’autrui, se reconnaissant en tout comme toujours face à face à l’Intelligence Vitale, identiquement présente en une forme annexe qui, tout comme elle, s’est enchaînée à ses désirs et épuise son reflet de volonté, à ne vouloir être, que son apparence.
Si simplement …
*********
Un jour soudain,
Dans le temps et la pensée d’un globe
Dont les feux follets des formes personnifiées
Voilent la luminance,
Se profile l’instant
De la nécessité de l’extinction des feux.
… Courage, l’Amour inconditionnel
Enveloppe dès lors Tout entier le globe
Qui s’illumine de tous ses feux éteints,
Impressionnant l’univers
De l’image d’un nouveau Soleil.
Une ronde d’évolution s’achève
Une ronde évolutive commence
Un jour soudain,
Dans le temps et la pensée d’un globe
Dont les feux follets des formes personnifiées
Voilent la luminance,
Se profile l’instant
De la nécessité de l’extinction des feux.
… Courage, l’Amour inconditionnel
Enveloppe dès lors Tout entier le globe
Qui s’illumine de tous ses feux éteints,
Impressionnant l’univers
De l’image d’un nouveau Soleil.
Une ronde d’évolution s’achève
Une ronde évolutive commence
2 commentaires:
Oh Oui! si simplement...!!!
Et si nos "mots " ne suffisent pas, voiçi ce texte, que je découvres avec emerveillement : c'est le premier chapitre d'un petit livret anonyme du XIXéme siecle tres connu depuis qu'il est devenu une des références conseillées par Ramana maharshi lui -même qui en disait textuellement:"si tu veux la délivrance, alors lis et pratiques les instructions contenues dans ce petit livre "Ellâm Onru": Tout Est Un!!
Voici le premier chapitre:
[i]1 -Tout, incluant le monde que tu vois, ainsi que toi-même, le témoin du monde, tout est Un.
2 - Tout ce que tu considères comme étant moi, toi, lui, elle, et cela, tout est Un.
3 - Les êtres sensibles, ainsi que l'inerte et l'insensible (la terre, l'air, le feu et l'eau), tout cela est Un.
4 - Le bien-être qui résulte de la conscience que " tout est Un", ne peut être obtenu par une conscience fragmentaire, séparant les choses et les êtres : tout est Un.
5 - La connaissance de l'unité de toutes choses est bonne, autant pour toi que pour les autres : tout est Un.
6 - Celui qui voit «je suis séparé", "tu es sépare", "il est séparé", etc, agit d'une certaine façon envers lui-même, et d'une toute autre façon envers les autres. Il ne peut s'en empêcher. La pensée "chaque être est séparé des autres", est la graine d'où s'élève l'arbre de la discrimination arbitraire des actes (en fonction de la diversité des personnes). Comment pourrait-il y avoir un défaut de vertu chez celui qui sait qu'il y a unité entre lui et les autres ? Aussi longtemps que le germe de la différenciation est présent, l'arbre correspondant est à même de fleurir, que l'on s'y attende ou pas. Il faut donc renoncer à cette faculté de différenciation. Tout est Un.
7 - Question : dans le monde, les choses paraissent différentes ; comment puis-je alors considérer le tout comme étant Un ? Y-a-t-il un moyen d'atteindre à cette connaissance ? La réponse est celle-ci : dans un même arbre nous voyons des feuilles, des fleurs, des fruits et des branches, différents les uns des autres, et qui pourtant ne font qu'un, étant tous compris dans le mot "arbre". Leur racine est la même, leur sève est la même. Ainsi, toutes les choses, tous les corps, tous les organismes, proviennent d'une même source et sont activés par un seul et même principe vital: tout est Un.
8 - Ô homme de bien ! L'affirmation "tout est Un" est-elle bonne ou mauvaise ? Réfléchis. De même que la personne qui se voit elle-même comme elle voit les autres et les autres comme elle-même ne peut qu'être honnête et juste, de même comment le mal pourrait-il s'attacher à celui qui sait qu'il fait un avec les autres ? Dis-moi s'il existe une meilleure voie vers le Souverain Bien que la connaissance de l'Unité ? Il n'y en a certainement pas. Comment quelqu'un pourrait-il aimer les autres mieux qu'en sachant qu'ils sont lui-même ? Il les connait en tant qu'Unité -, il les aime en tant qu'Unité, puisqu'en vérité, ils sont Un.
9 - Qui petit partager la paix mentale et le calme du connaisseur de l'Unité ? Il n'a pas de soucis. Le bien-être de tous est son propre bien-être. Une mère considère le bien-être de ses enfants comme le sien propre. Cependant son amour n'est pas parfait, parce qu'elle se croit individuellement séparée de ses enfants. L'amour d'un Sage ayant réalisé l'Unité de toutes choses dépasse, et de très loin, même l'amour d'une mère. Il n'y a pas d'autre moyen pour réaliser un tel amour que la connaissance de l'Unité: tout est Un.
10 - Sache que le monde dans son ensemble constitue ton corps impérissable, et que tu es toi-même la vie perpétuelle du monde entier.
Y-a-t-il du mal à faire ainsi ? Qui a peur de suivre la voie sans blâme ? Sois téméraire. Les Védas enseignent cette vérité. Il n'y a rien d'autre que toi. Le Souverain Bien t'appartient. Oui, tu es ce Souverain Bien toi-même. Tout ce que les autres pourront tirer de toi sera du Bien, uniquement. Qui donc s'emploierait a agir contre ses propres corps et âme ? S'il y a un abcès dans le corps, un remède lui est appliqué ; même s'il s'avère douloureux, son objet est de faire du bien, uniquement. Il en ira de même pour certaines de tes actions, dont le but sera le bien du monde. C'est pourquoi tu ne dois pas t'empêtrer dans la différenciation.
En résumé : le connaisseur de l'Unité agit de la meilleure des façons. C'est la connaissance de l'Unité qui le fait agir. Il ne peut se tromper. Dans le monde, il est Dieu devenu visible. Tout est Un.
Cette méditation ravit mon coeur. Ici, je me sens intimement et si simplement chez moi...
Merci âmie !
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