Dire … et écrire … sans trop se soucier de l’origine du jaillissement verbal … n’est-ce pas là un commencement de manifestation de Vie.
Le premier cri, du premier homme, qu’il soit mélodie ou onomatopée n’était-il pas un balbutiement du « Je Suis », un cri d’étonnement devant ce pouvoir exprimer ce qu’il est, sans opportunité encore de se discerner comme simple témoin d’une existence qu’il constate mais ne connaît pas ?
Témoin penseur, démonstrateur d’un jeu de Son et Lumière que l’œil et l’oreille capteront dans le but inconscient d’une imitation malhabile.
Que ne sommes-nous simplement musicien … !
Il suffirait à chacun de s’accorder à la mélodie qui vibre en l’oreille.
Seulement voilà, le don est total, l’homme témoigne, par sa parole,
de l’Art Magique du Verbe, qui instruit, sur symphonie d’Univers.
Depuis les premiers moyens, accordant des ah avec des oh, heureusement souvent accompagnés de splendides hi hi hi décorant d’un sourire la bouche des témoins penseurs, nous ne cessons néanmoins d’accrocher de lourdes et vaines guirlandes de mots qui jamais ne seront l’objet en sa globalité.
Fasse que le Son que nos mots révèlent secrètement, se montre pur, et innocent, afin que tous les mots énoncés ne deviennent plus ces maux qu’aux petits matins de nos quotidiens il nous faut avaler et digérer.
Le premier cri, du premier homme, qu’il soit mélodie ou onomatopée n’était-il pas un balbutiement du « Je Suis », un cri d’étonnement devant ce pouvoir exprimer ce qu’il est, sans opportunité encore de se discerner comme simple témoin d’une existence qu’il constate mais ne connaît pas ?
Témoin penseur, démonstrateur d’un jeu de Son et Lumière que l’œil et l’oreille capteront dans le but inconscient d’une imitation malhabile.
Que ne sommes-nous simplement musicien … !
Il suffirait à chacun de s’accorder à la mélodie qui vibre en l’oreille.
Seulement voilà, le don est total, l’homme témoigne, par sa parole,
de l’Art Magique du Verbe, qui instruit, sur symphonie d’Univers.
Depuis les premiers moyens, accordant des ah avec des oh, heureusement souvent accompagnés de splendides hi hi hi décorant d’un sourire la bouche des témoins penseurs, nous ne cessons néanmoins d’accrocher de lourdes et vaines guirlandes de mots qui jamais ne seront l’objet en sa globalité.
Fasse que le Son que nos mots révèlent secrètement, se montre pur, et innocent, afin que tous les mots énoncés ne deviennent plus ces maux qu’aux petits matins de nos quotidiens il nous faut avaler et digérer.
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