Mon regard sur « Hier » n’appartient nullement à la nostalgie.
Il n’entretient ni regrets, ni remords.
Il se pose, comme une nécessité de, récapitulation.
Tandis qu’invariablement, Aujourd’hui, accourt et s’active, instantanément, spontanément, avec et dans la fièvre des sensations que génère la découverte de cet incessant « renouveau », Hier se découvre, et révèle toutes les questions qu’il est bien inutile de poser, toutes les quêtes de « destination », tous les comment, tous les pourquoi d’un non-être évident.
A suivre le mouvement de nos pensées, il devient possible de percevoir le temps qui s’accélère, réduisant l’espace jusqu’au point de l’immobile néant, de ce vide si extraordinaire plein, qu’il permet,
la germination de tous les possibles.
Il n’entretient ni regrets, ni remords.
Il se pose, comme une nécessité de, récapitulation.
Tandis qu’invariablement, Aujourd’hui, accourt et s’active, instantanément, spontanément, avec et dans la fièvre des sensations que génère la découverte de cet incessant « renouveau », Hier se découvre, et révèle toutes les questions qu’il est bien inutile de poser, toutes les quêtes de « destination », tous les comment, tous les pourquoi d’un non-être évident.
A suivre le mouvement de nos pensées, il devient possible de percevoir le temps qui s’accélère, réduisant l’espace jusqu’au point de l’immobile néant, de ce vide si extraordinaire plein, qu’il permet,
la germination de tous les possibles.
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